« Que devient le symptôme quand on ne parle pas en termes de guérison ? [...] Freud avait déjà donné cette mise en garde dans les Leçons d’introduction à la psychanalyse (1915) : “Pour le profane, ce sont les symptômes qui constituent l’essence de la maladie. (...) Mais ce qui de la maladie subsiste de tangible après la disparition des symptômes, c’est la capacité de former de nouveaux symptômes.” Là est bien la question » (G. Delaisi de Parseval, Libération.fr).
– Gérard Bonnet, « Symptôme et conversion », PUF, Paris, 2004, 219 pp., 25 €.