« C’est d’“incestes” au pluriel qu’il faudrait parler, dit l’auteur, afin de ne pas assimiler trop rapidement fantasmes inconscients et actes criminels et pour ne pas confondre les relations symboliquement associées à des relations incestueuses et des passages à l’acte sexuels commis sur des enfants par leurs proches parents. Ce qui complique encore les choses, c’est que ce vocable relève à la fois du champ anthropologique et de celui de la psychanalyse. Peu d’auteurs ont su conjuguer simultanément les deux approches » (G. Delaisi, Libération.fr).
– Hélène Parat, L’Inceste, PUF, « Que sais-je ? », 127 pp. , 7,50 €.