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Émile Laurent

L’amour harmonique et l’amour morbide

L’Amour morbide (1891). — Chapitre premier

Date de mise en ligne : samedi 15 octobre 2005

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Émile Laurent, L’Amour morbide. — Étude de psychologie pathologique, Chapitre I : « L’amour harmonique et l’amour morbide », Société d’Éditions Scientifique, Paris, 1891, pp. 3-13.

Préface

Tous les êtres animés, depuis le plus infime jusqu’au plus élevé, sont conduits par deux nécessités pressantes la faim, qui a pour but la conservation de l’individu, et l’amour, qui a pour but la conservation de l’espèce.

Tout, en effet, cède au besoin d’aimer physiologiquement. Le pollen des fleurs, emporté par le vent, va féconder les organes femelles ; l’atome copule sa sœur la molécule ; et le vermisseau dans l’herbe se pâme de volupté. « L’oiseau a une femelle qu’il aime ; le poisson, au milieu des eaux, trouve avec qui goûter les plaisirs de l’amour ; le cerf court après la biche ; le serpent s’unit au serpent ; le chien, après l’accouplement, demeure attaché â la chienne ; la brebis aime â être couverte par le bélier, la génisse par le taureau ; le bouc, tout répugnant qu’il est, ne déplaît pas â la chèvre lascive ; la cavale, brûlant des fureurs de l’amour, va rejoindre l’étalon dans des lieux éloignés, elle franchit les fleuves qui l’en séparent » [1].

Chez l’homme, ce besoin n’est pas moins puissant. Au lendemain d’une sanglante bataille, au milieu d’une vaste plaine semée de morts et de mourants, Napoléon Ier fit cette réflexion :

« Une nuit de Paris réparera tout cela. » S’il put s’exprimer ainsi, dans sa brutalité de conquérant, c’est qu’il savait que les jouissances physiologiques de l’amour dominent l’humanité tout entière, et préludent, sans trêve ni repos, â son éternel rajeunissement [2].

Mais l’homme n’est pas seulement un être doué de besoins physiologiques, c’est aussi un être pensant, un roseau pensant, a dit un philosophe de l’avant-dernier siècle, en somme un être fort complexe. La bête en mal d’amour ne cherche que la satisfaction naturelle et physiologique de son besoin, sans raffinements ni artifices. Au printemps, la cavale reçoit avec élan l’étalon qu’elle attend ; mais, l’acte accompli, ils retournent paisiblement à leurs pâturages, sans chercher à exciter leurs sens, satisfaits par des jouissances nouvelles et plus aiguës. L’homme, au contraire, entraîné par l’attrait des plaisirs sexuels, a voulu les multiplier et les prolonger.

C’est de cette surexcitation des sens épuisés, de cette recherche de sensations nouvelles, que sont nées presque toutes les erreurs et les folies génésiques : les habitants de Sodome consolés de la froideur du sexe faible, les filles de Zéboim « refusant de s’unir aux jeunes hommes, mais couchant deux à deux et le matin se réveillant lasses » [3], Pasiphad se damnant aux bras d’un taureau, Sapho corrompant les vierges de Lesbos, Anacréon chantant l’enfant Batbyllos, « Messaline impératrice de lupanar, Néron empereur amoureux d’une blessure », et tant d’autres.

Mais ce ne sont point ces aberrations du sens génésique que je me propose d’étudier. Et cependant, dans les asiles d’aliénés et les prisons où j’ai vécu longtemps comme interne, il m’a été donné de voir de près et d’étudier ces erreurs sexuelles. Un jour je les analyserai dans un autre ouvrage. Ici j’examinerai une question toute différente, non point une aberration génésique, mais simplement l’exagération, l’hypertrophie d’un sentiment ou mieux d’une passion naturelle, au point que cette passion absorbe â elle seule une âme tout entière. Je dirai dans le premier chapitre ce que j’entends exactement par amour morbide.

En lisant ces pages, on m’accusera peut-être d’avoir voulu maudire et renier l’amour. Loin de moi cette pensée ! L’amour est un sentiment noble et généreux en même temps qu’un besoin physiologique qu’il faut satisfaire. Cependant je n’en partage pas moins l’opinion de Stendhal : « L’amour est une fleur délicieuse, mais il faut avoir le courage d’aller la cueillir sur les bords d’un précipice affreux » [4]. C’est un des dangers de l’amour que j’ai voulu signaler. Je montrerai pour quels sujets il est particulièrement redoutable, je dirai ses conséquences si souvent funestes, et enfin j’indiquerai comment on peut le guérir.

Le mal d’amour ! La folie amoureuse ! Encore un aliéniste qui voit des fous partout ! - Ne plaisantez pas. II y en a tant, hélas ! Nous en coudoyons tous les jours dans lu rue. Qui de nous d’ailleurs n’a son petit grain, comme on dit vulgairement, ses manies plus ou moins ridicules ? Je vous entends encore : Mais vous, le psychiatre psychologue, qui voyez des fous partout, ne seriez-vous pas halluciné vous-même ? - Qui sait ? Peut-être... quelquefois. Mais cela ne m’empêcherait pas de voir la folie des autres. Les aliénés, s’ils ne sentent pas l’inanité de leur délire, se moquent des conceptions ni plus absurdes ni plus folles de ceux qu’on met à coté d’eux.

Si l’un de vous se reconnaît dans les portraits que je vais tracer, s’il est tombé et s’est relevé, qu’il se console et se réjouisse en pensant qu’il est guéri d’un mal dangereux. Quant à celui qui n’a point péché, qu’il ne se rie pas de cet avertissement, qu’il ne se vante pas avec un orgueil téméraire. Les plus forts succombent et leur chute n’en est que plus retentissante. Avant d’être un saint, Augustin fut le scandale de toute une ville, et Marie-Magdeleine fut une prostituée avant qu’elle eût baisé les pieds du Christ.

Chapitre premier
L’amour harmonique et l’amour morbide

I

Au commencement des choses, l’amour n’était pas encore une passion, c’était tout simplement une loi générale du monde. C’était la terre engendrant, fécondée par la rosée céleste. « Le chaste ciel s’éprend d’amour pour la terre, dit le poète en son langage symbolique, et la terre se prépare à ses embrassements. La. pluie alors tombe du ciel comme du sein d’un époux, et vient baiser la terre qui enfante à l’envi la pâture des troupeaux et le blé, nourriture de l’homme. Cette rosée nuptiale donne aux arbres leur force et leur verdure » [5].

C’était la première période de l’amour, la période embryonnaire. À la période suivante, il devient un instinct, en même temps qu’un besoin physiologique. Les mâles poursuivent les femelles et l’homme recherche la femme pour la posséder. L’homme préhistorique, en effet, n’avait guère le temps d’aimer. II lui fallait lutter pour vivre, et cette lutte était terrible. De l’amour, il ne connaissait que l’acte physiologique. Lorsqu’il avait repu sa faim avec le produit de sa chasse, « pris du besoin de l’union sexuelle, il jetait de cote la fourrure qui le couvrait, et, mettant à nu sa peau velue, se ruait avec des hurlements de plaisir sur sa femelle qui l’attendait palpitante de crainte et d’effroi » [6].

Puis, à la période suivante, l’instinct devient sentiment et l’amour proprement dit est né.

En face du monde pacifié, maître des éléments moins troublés, l’homme, déjà affiné par une civilisation primitive, put se reposer et regarder. « Il vit la nature naissante avec toute sa beauté printanière, ses fleurs â demi écloses, ses montagnes aux croupes gigantesques et grandioses, ses fleuves aux eaux torrentueuses et mugissantes, ses mers aux vagues formidables, son soleil aux ratons fauves, et au-dessus de tout cela la lumière immense donnant la vie, la force, la beauté â la matière immortelle et grande. L’homme sentit et il aima. II aima ce qui le surprit et ce qui l’étonna dans la nature qui l’environnait ; et, entraîné vers la femme par le lien de la reproduction et la force primitive de la conservation de l’espèce, il se plut à la douer des qualités brillantes qu’il avait rencontrées chez les autres êtres » [7].

II

Ainsi, à cette période, l’amour devient un sentiment doublé d’un besoin, car ce sentiment ne va pas sans les satisfactions charnelles, sans le rapprochement des deux sexes dans un baiser des muqueuses génitales. C’est l’amour simple et vrai, tel que le comprenaient les anciens ; c’est ce que j’appellerai l’amour parfait ou harmonique.

Les poètes, et plus particulièrement les poètes de l’antiquité, nous ont laissé des peintures magnifiques de cet amour Parfait.

C’est cet amour qu’invoque Radha dans le poème de Jayadéva, quand elle invite l’aimé aux plaisirs amoureux.

Salomon semble faire écho au poète du Gitagovinda et c’est le même amour mystique et sensuel qu’il chante dans le cantique des cantiques quand il s’exalte et monte d’enthousiasme en enthousiasme :

« Les jointures de tes cuisses sont comme des colliers travaillés par la main d’un excellent ouvrier, dit-il.

« Ton nombril est comme une coupe faite au tour où il ne manque jamais â boire. Ton ventre est comme un monceau de froment, tout environné de lis.

« Tes deux mamelles sont comme deux petits jumeaux de la femelle d’un chevreuil.

« Ton cou est comme une tour d’ivoire. Tes yeux sont comme les piscines d’Hésébou, situées à la porte du plus grand concours des peuples. Ton nez est comme la tour du Liban qui regarde vers Damas.

« Ta tête est comme le mont Carmel et les cheveux de ta tête sont comme la pourpre du roi liée et teinte deux fois dans les canaux des teinturiers.

« Que tu es belle et pleine de grâce, ô toi qui es ma très chère et les délices de mon cœur.

« Ta taille est semblable â un palmier et tes mamelles à des grappes de raisin.

« J’ai dit : je monterai sur le palmier et j’en cueillerai les fruits ; et tes mamelles seront comme des grappes de raisin et l’odeur de ta bouche comme celle des pommes. »

La bien-aimée vient â lui avec non moins de passion et d’amour :

« Je suis à mon bien-aimé et son cœur se tourne vers moi.

« Viens, mon bien-aimé ; sortons dans les champs, demeurons dans les villages.

« Levons-nous dès le matin pour aller au vignes ; voyons si la vigne a fleuri, si les fleurs produisent des fruits, si les pommes de grenade sont en fleur ; c’est là que je t’offrirai mes mamelles » [8].

Voilà ce qu’il faut entendre par amour harmonique, amour parfait et partagé, amour complet, où entrent pour une part égale et le cœur et les sens.

III

Mahomet a bien compris ce besoin d’amour charnel en même temps qu’immatériel qui tourmente le cœur de tous les hommes. Et il a peuplé son paradis de houris qui sans cesse multiplient, sous des caresses de flamme, l’ardeur sans déclin des sens et donnent le coït éternel au élus. Non-seulement il a permis et glorifié l’amour sur la terre, mais à ceux qui marchent dans les voies d’Allah, il a promis dans un autre monde :

Les vierges au front ceint de roses éternelles,
Dont les yeux sont plus clairs que nos soleils d’été,
Et si doux qu’un regard tombé de leurs prunelles
Enivrerait Yblis soumis et racheté
 [9].

Jésus au contraire a banni l’amour charnel de sa religion et repoussé comme honteuses les voluptés éphémères que donnent les sens. À ses élus il a promis des joies pures de tout alliage matériel. Il leur a parlé d’une Jérusalem céleste où ils s’agenouilleront devant des tabernacles parfumés de myrrhe et de cynname, où ils verront les vierges mystiques, les Immaculées nimbées de blanches auréoles, où ils entendront l’hosannah éternel chanté par les Chérubins sur les harpes d’or. Ils seront débarrassés de leurs sens et un rayon d’amour parti du cœur du Crucifié vers lequel convergeront tous leurs cœurs comme autant de rayons d’un flamboyant soleil, suffira à les plonger pour l’éternité dans une ineffable jouissance d’onanisme divin. La contemplation face à face de Jéhovah, l’Unique, le Très-liant, l’éternelle Beauté, suffira pour alimenter leur amour.

IV

C’est de cette théorie religieuse qui méprise les jouissances physiques de l’amour et veut en faire un sentiment absolument détaché de la terre, un sentiment où l’Aune seule sait parler et les sens se taire, qu’est sorti l’amour platonique.

C’est évidemment une conception excessivement haute, excessivement noble de l’amour, et les poètes y ont puisé leurs plus purs enthousiasmes.

L’amour platonique en effet a donné naissance à un poème d’une rare beauté et d’une élévation qui n’a jamais été dépassée.

Un jour, un enfant de neuf ans aperçut dans une église de Florence une jeune fille douce et belle, du même âge que lui. Il ne lui parla jamais, ne lui dit pas même son nom, et cependant son cœur se mit à battre d’amour et une joie immense envahit son être tout entier. « À ce moment, dit-il, l’esprit de vie qui demeure dans la plus secrète chambre du cœur, se mit à trembler si fort qu’il se manifestait terriblement dans mes pulsations. Et, tout en tremblant, il dit : Ecce Deus fortior me qui veniens dominabitur mihi. Aussitôt l’esprit animal qui demeure dans la haute chambre où les esprits sensitifs portent leurs perceptiuns, commença de s’émerveiller vivement et, s’adressant plus particulièrement à l’esprit de la vie, dit ces paroles : Apparuit jam beatitudo vestra. Alors l’esprit de nature qui réside en cette partie où se fait notre nourriture, se mit à pleurer, et, pleurant, dit ces paroles : Heu miser ! quia frequenter impaditus cro deinceps. Depuis lors, je dis qu’Amour fut toujours maître de mon âme » [10].

Sans espoir de posséder jamais celte femme, il l’aima du plus profond, du plus pur, du plus idéal amour que Platon ait jamais rêvé. Elle mourut jeune et dans toute la splendeur de sa beauté. L’amoureux pleure et renferme son amour dans son cœur comme l’avare renferme son or dans sa cassette, attisant sans cesse ce feu divin qui devait l’illuminer un jour et faire jaillir de son sein les divines flammes de la poésie. De même que l’astronome, plongé dans le vaste champ des cieux, ne vit plus que pour l’étoile qu’il a vu briller un soir au bout de son télescope, paillette d’or égarée par la main du grand lapidaire, et qu’il suit dans la voûte immense du firmament ainsi qu’une fabuleuse étincelle, il ne vécut que pour cet amour qui lui permit de « s’élever dans ses contemplations jusqu’au sommet merveilleux où réside la beauté souveraine, celle qui n’a ni commencement ni fin, qui ne connaît ni l’accroissement, ni la décadence, qui n’a point de forme ni de visage » [11]. Et cette femme s’appelait Béatrice Portinari et cet homme Dante Alighieri.

V

Mais c’est là un rêve de poète, et si nous descendons de ces hauteurs chimériques à la réalité des choses humaines, l’amour platonique n’est plus qu’un sentiment imparfait, « une absurdité et une chimère, une interprétation fausse d’un sentiment vrai » [12].

L’amour se compose de deux éléments : l’un physiologique, un besoin ; l’autre psychologique, un sentiment. C’est leur équilibre plus ou moins parfait qui produit l’harmonie en amour. Dans l’amour platonique, il y a hypertrophie de l’un de ces éléments et atrophie de l’autre. Ce n’est déjà plus de l’amour normal, de l’amour complet ; il ne peut plus donner â l’homme :

... la volupté suprême
De chercher dans un autre un but autre que lui,
Et de ne vivre entier qu’en vivant en autrui
 [13].

Il y a par conséquent rupture de l’équilibre, et c’est déjà de l’amour morbide. Cependant, ce n’est point là précisément le sentiment que je me propose d’analyser dans cette étude. Mais nous verrons, en parlant des érotomanes, combien ils se rapprochent des amoureux platoniques, et j’ai voulu dès le début signaler cette analogie.

VI

L’amour partagé doit dilater l’âme ; et en même temps lui procurer une joie douce et tranquille. « Je t’aime, dit la belle Musarion à Phanias, et mon amour est doux comme le souffle du zéphyr ; il agite légèrement le cœur, il n’excite point de tempêtes ; il ne cause point de tourments, mais une joie paisible » [14].

Il est loin d’en être toujours ainsi. L’amour reste rarement un sentiment ; il devient presque toujours une passion. C’est le déchaînement ou mieux le dérèglement de cette passion que je vais essayer d’étudier dans ces pages de psychologie expérimentale. Je m’explique par un exemple.

Un homme s’éprend d’amour pour une femme. Ou bien elle refuse de répondre à son amour, ou bien elle est indigne de le partager et elle abuse traîtreusement de la passion qu’elle a allumée. Cet homme l’aime quand même et en quelque sorte malgré lui. Cependant la raison parle en son cœur et lui démontre que cet amour n’est qu’une folie ; on lui prouve jusqu’à l’évidence que cette femme le trompe et se rit de lui, qu’elle l’entraîne â sa ruine et fait le malheur de tous ceux qui lui sont chers : n’importe ! Rien n’y fait. Il l’aime et il ne peut s’empêcher de l’aimer. Pourquoi ? Il n’en sait rien lui-même. Il l’aime parce qu’il l’aime et qu’il ne peut faire autrement. C’est une passion qui ressemble à l’idée fixe de l’aliéné ou mieux encore à l’obsession du dégénéré, et pour moi c’est la même chose.

Le malheureux, que tourmente une obsession, ne sait pourquoi telle idée lui est venue, et cependant il ne peut s’en débarrasser ; elle le poursuit partout et l’amène â commettre les actes les plus extravagants. Que ce soit une obsession homicide ou une obsession amoureuse, il y a toujours rupture de l’équilibre cérébral. La volonté est paralysée, la raison bâillonnée ; l’obsession reste seule maîtresse et commande impérieusement.

L’amoureux obsédé est le plus souvent, comme on le verra plus loin, un déséquilibré, un héréditaire dégénéré, et l’amour morbide n’est qu’un syndrome épisodique, c’est-à-dire un délire partiel et transitoire.

P.-S.

Texte établi par PSYCHANALYSE-PARIS.COM à partir de l’ouvrage de Émile Laurent, L’Amour morbide. — Étude de psychologie pathologique, Chapitre I : « L’amour harmonique et l’amour morbide », Société d’Éditions Scientifique, Paris, 1891, pp. 3-13.

Notes

[1Ovide, L’art d’aimer, livre II.

[2Voyez à ce propos : G. Bargal, Discours préliminaire au Bréviaire de l’amour expérimental, du Dr Jules Guvor, p. 37. - Marpon et Flammarion. Paris 1882.

[3Catulle Mendès, Zohar.

[4Stendhal, De l’amour, p. 120, Édition Calman-Lévy.

[5Virgile, Les Géorgiques, L. II, v, 321.

[6G. Saint-Yves, La Littérature amoureuse, Introduction, p. XXV. - Marpon et Fiammarion, Paris 1887.

[7G. Saint-Yves, Loc. cit.

[8Traduction de Lemaître de Sacy

[9Leconte de Lisle, Poèmes tragiques.

[10Dante, La vita nuova.

[11Saint-Marc Girardin, Cours de littérature dramatique, tome II.

[13Lamartine, La Chute d’un Ange, Première vision.

[14Musarion, chant Ill.

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