« Freud, grand voyageur, était aussi un bon mari et un bon père. Presque chaque jour, il écrivait des lettres et des cartes pour rendre compte de son itinéraire à sa famille. Les voici publiées aujourd’hui sous un beau titre, Notre coeur tend vers le Sud, phrase extraite de l’une de ses missives écrites de Lavarone, dans le Tyrol italien, à l’époque où Freud n’ose encore pas “descendre” plus loin que la Toscane. L’avant-propos de Chistfried Tögel, historienne de la psychanalyse, nous apprend qu’après les vacances d’août, qu’il passait toujours en famille, Freud consacrait les mois de septembre à un voyage d’agrément, sans la compagnie de son épouse que sa santé - et peut-être ses goûts - retenait à Vienne » (François Lelord, LeFigaro.fr).