« Il nous est, par exemple, expliqué que Freud n’a fait que reprendre les idées des autres. De Platon à Schopenhauer en passant par Charcot et Pierre Janet, il n’aurait rien découvert, mais beaucoup pillé. Au fond, Freud serait un récupérateur de talent, un faiseur. Mais si la pensée de l’illustre Viennois est à ce point envahie par les intuitions géniales des autres, comment expliquer qu’elle soit, dans le même temps, si vaine et si erronée ? Etrange contradiction que ne résout pas l’ouvrage » (Paul-François, Lefigaro.fr).